Possession, la nouvelle érotique de Candy de Désir-Cam



Rien de tel que de finir l’année avec une histoire coquine 🙂 !

Récemment, je vous parlais de mon site préféré de nouvelles érotiques et cela a inspiré Candy, camgirl sur le site Désir-Cam. Merci à elle de nous faire partager ce texte torride, véritable ode au sexe (très) matinal 🙂 !

Sa nouvelle se nomme …

Possession.

Voilà presque une heure qu’il a quitté mon lit et je sens encore son foutre tiède me couler le long de la cuisse.

Je dormais profondément (le son de son réveil faisait parti intégrante de mon rêve) quand je sentis ses mains parcourir mes reins et descendre doucement sur mes fesses.

J’ouvris un œil en sachant très bien ce qu’il attendait de moi. Encore plongé dans ma léthargie, je me retournai pour me refuser à lui en râlant : « pas au réveil ». Je n’avais envie que de sommeil.

Il ne se laissa pas démonter : « Je sais que tu en as envie, que tu n’attends que ça… ». Je sentais sa queue contre ma cuisse, il bandais fort…

Sa main glissa dans mon string, il fouilla ma chatte de ses doigts… Cette fois, je ne le repoussai pas car je mouillais déjà.

Allongée sur le dos, entre éveil et sommeil, mon corps se réveillait lentement aux rythmes de ses caresses perverses. Il écarta mes cuisses, bien ouvertes, ma chatte offerte dépassant de mon string, il vint se placer entre et frotta sa bite bien dure contre mon pubis. A ce moment là, je savais que j’étais à sa merci, que rien ne pouvait l’empêcher de parvenir à ses fins. Ses lèvres parcouraient mon cou, je sentis sa main sur mon ventre qui doucement montait vers mes seins bien tendus, je pointais…

Il me murmura des paroles crues dont lui seul a le secret « Tu aimes ça petite salope, regarde comme je bande ». Je n’avais pas besoin de répondre… Il se releva, à genoux entre mes cuisses, puis je sentis son gland frotter mes lèvres et mon clitoris, ça glissait… D’un seul coup, il me pénétra bestialement : il enfonça sa grosse queue jusqu’au fond de mon vagin. Un frisson de plaisir me parcourut l’échine car à peine éveillée, ma chatte encore bien étroite, je la sentis fort. « Hummm, quelle est grosse ! » C’était bon, encore ! Il aime voir sur mon visage cette expression de salope quand l’excitation me gagne, ma bouche qui fait la moue et qui laisse entrevoir mon envie de sucer sa queue jusqu’au fond de ma gorge, mon regard presque suppliant qui lui demande de me baiser comme la chienne que je suis, là, à ce moment précis.

Oui, j’aime être sa chienne, sa salope…sa putain. Cette possession qu’il exerce sur moi m’excite. Son regard parfois dur qui me fait sentir que je lui appartiens, j’adore ça. Il le sait et s’en sert ! Je sens ses couilles frapper mon cul, il va de plus en plus vite, de plus en plus fort, je gémis…parfois on dirait des pleurs, je me contiens pour ne pas pousser de cris, chut ! Il est 4h du matin et l’appartement n’est pas insonorisé, alors je sers les draps très fort.

Il place ses mains sous mes genoux pour m’écarter encore plus, je suis maintenant perpendiculaire à son corps. Je sais que je vais prendre, je me prépare car c’est dans cette position qu’il va me défoncer, je le sens et il ne se fait pas attendre. Je ressens de fortes secousses à chacun de ses coups de reins violents. J’aime ça, je sens sa bite toute entière me pénétrer avec force, il me baise comme un animal. « T’es une bonne salope ! » me dit-il, « ça t’excite que je bande pour toi, que je défonce ta chatte de chienne ». Je ne dis rien mais il le voit dans mon regard que, oui, j’aime qu’il me moleste, qu’il m’octroie le statut d’objet. Son objet.

Puis, il m’ordonne de me tourner, il veut mon cul…Je refuse, pas encore remise de ce qu’il m’a mis hier soir, et lui de penser, j’en suis sûr « Tu ne perds rien pour attendre salope ! »

Encore quelques coups de queue, il me secoue, c’est bon, il pousse un râle, puis jouit en moi. Son corps en sueur se couche sur moi, il m’embrasse, me caresse tendrement, puis me laisse pour aller bosser…avec un peu de retard.

Après son travail, je sais qu’il reviendra finir ce qu’il a commencé cette nuit, lui, insatiable, pour ne pas dire addict.

Addict au cul.

Juste au mien ?

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