Désir-Cam et Rubis60 à l’honneur sur Envoyé Spécial

Hier soir, Envoyé Spécial, le célèbre programme d’investigation de France 2, enquêtait sur le monde des camgirls.
Retour sur un reportage très complet (à revoir en Replay) qui mettait le site français Désir-Cam en avant, ainsi que ses clients et ses hôtesses.

Une activité légale

Le reportage a insisté plusieurs fois sur l’aspect légal du caming et sur le fait que l’on ne peut pas assimiler cette activité à de la prostitution (il n’y a aucun contact physique entre la camgirl et le client, c’est une relation virtuelle). Les camgirls sont des travailleuses indépendantes rémunérées à la commission.

Témoignage d’un client et d’une camgirl

Un client du site Désir-Cam, Wadedy, a accepté de témoigner. Je trouve vraiment intéressant ses propos (merci à lui). Il parle de ses envies et des raisons qui le motivent à venir sur ce site français : “Parler avec des filles, ça me rend heureux”, “J‘apprends à les connaître”, “C’est mieux que le porno, c’est plus réel, plus interactif”, “C’est très différent de la prostitution, je ne pourrais pas payer pour du sexe réel”, “j’échange avec d’autres clients, il y a une communauté”…

Sa camgirl préférée est Rubis60 que je vous avais fait découvrir il y a quelques semaines dans une interview exclusive. Je profite de cet article pour la féliciter : bravo à toi Rubis, tu as été superbe !

Le téléspectateur a pu découvrir ses talents de stripteaseuse et la sensualité de ses shows privés. Elle a su aussi brillamment nous représenter et expliquer notre métier avec beaucoup d’intelligence. On constate que c’est une femme comme tout le monde (pas une bimbo reine du porno !), libre et à l’aise avec son corps, qui se produit en toute indépendance. Mention spéciale au passage où elle explique sa réaction face à la possibilité de croiser un jour une connaissance sur le site.

Les supermarchés des show virtuels

Rubis symbolise bien l’état d’esprit libertin qui règne sur Désir-Cam, où le plaisir des clients et des camgirl est une valeur essentielle.

L’ambiance coquine et conviviale est justement ce qui fait la différence entre Désir-Cam et les gros sites des multinationales.

On découvre en effet, dans le reportage, de véritables industries, très froides et sans état d’âme, qui mettent une pression folle aux hôtesses. Des camgirls stockées (le terme n’est pas trop fort) dans des studios en Roumanie, fliquées par des managers sans pitié et qui bossent 8 heures sans s’arrêter (un véritable esclavage) ! De quoi les user et les dégoûter rapidement. Forcement, les relations entre ces camgirls et les clients ne peuvent pas être aussi authentiques que sur des sites indépendants comme Désir-Cam. C’est une des raisons pour lesquelles je travaille maintenant exclusivement sur ce site.

Un business en plein expansion

Pour conclure, j’ai trouvé le salon AVN à Las-Vegas vraiment impressionnant avec ses 35 000 visiteurs et ces centaines de camgirls qui rencontrent leurs fans. On y découvre l’aspect business de l’activité avec les formations et les coachs qui conseillent les filles dans des séminaires.

Les journalistes de France 2 y rencontrent Little Red Bunny, une des camgirls les plus célèbres. Je vous propose de vous parler de cette stars internationale de la profession dans un prochain article, dans la catégories Portraits de camgirls.

Et vous, qu’avez-vous pensé de ce reportage ?